Le seuil de reconstructibilité par le haut modulo la dualité des relations binaires finies
Author
Dammak, Jamel
Full text
https://www.revistaproyecciones.cl/index.php/proyecciones/article/view/148210.4067/S0716-09172003000300004
Abstract
Etant donnée une relation binaire R, de base E, on définit sa duale RB par RB(x, y) = R(y, x). La relation R est dite auto-duale si elle est isomorphe à RB. Une relation binaire R0 est hémimorphe à R, si elle est isomorphe à R ou à RB. Une relation binaire à n éléments est (?k)-demi-reconstructible, si elle est déterminée à l’hémimorphie près, par la donnée à l’hémimorphie près de ses restrictions de cardinal (n ? k). L’étude faite en [8] entraine la (-d)- demi-reconstructibilité des relations binaires finies pour tout d ? 12. Nous étabissons la (?d)-demi-reconstructibilité des relations binaires finies pour tout d ? {11, 10, 9, 8, 7, 6}. Given a binary relation R of basis E, we define its dual RB by RB(x, y) = R(y, x). A relation R is self-dual if it is isomorphic to RB. A binary relation R0 is hemimorphic to R, if it is isomorphic to R or to RB. A relation R defined on n elements is (?k)- half - reconstructible if it is determined, up to hemimorphism, by its restrictions of cardinality (n ? k). From [8] follows the (?d)-halfreconstructibility of finite binary relations, for all d ? 12. We establish the (?d)-half-reconstructibility of finite binary relations, for all d ? {11, 10, 9, 8, 7, 6}.